Statistiques
Seuls 63 % des jeunes croient qu’il y a une politique permettant de rapporter des incidents d’intimidation ou de harcèlement à l’école qu’ils fréquentent.
63%
La stigmatisation survient lorsqu’un individu qui présente une caractéristique qui le différencie des autres est discrédité et pointé du doigt. La stigmatisation peut menée au rejet et à l’intimidation.
Certaines personnes peuvent être stigmatisées à cause de leur orientation sexuelle, d’une maladie, d’un handicap ou encore de leur apparence corporelle.
Ce qui est sournois avec la stigmatisation c’est que les gens en viennent à ne voir que l’étiquette attribuée. Ainsi, une personne aura beau être drôle et intelligente, si celle-ci est stigmatisée à cause de son poids, cette caractéristique pourrait prendre toute la place dans la perception des autres à son égard. Enfin, il y a aussi un danger que la victime de stigmatisation en vienne à intégrer ce message, à se percevoir et à se juger négativement.
Seuls 63 % des jeunes croient qu’il y a une politique permettant de rapporter des incidents d’intimidation ou de harcèlement à l’école qu’ils fréquentent.
63%
59%
des jeunes considèrent que les élèves de leur école se font traiter de tous les noms, taquiner ou intimider par rapport à un surpoids.
Les enseignants constituent les personnes ressources à qui les jeunes se confient le plus à l’école lorsqu’il est question d’intimidation. Par contre, 14 % n’en parlent à personne.
14%
où les jeunes se font intimider ou taquiner par rapport à leur poids, en ordre d’importance :
qui se font intimider à cause de leur poids
52%
ont commencé à faire plus d’exercices
47%
sont devenus obsédés par leur poids
8%
ont manqué au moins un cours pendant le dernier mois
19%
des jeunes intimidés à cause de leur poids ont évité d’aller à leur cours d’éducation physique
81%
des jeunes intimidés à cause de leur poids n’en parlent à personne
*Résultats d’une étude menée en 2013-2014 par l’ASPQ en partenariat avec l’Université du Québec en Outaouais auprès de 824 adolescent(e)s âgé(e)s entre 14 et 18 ans fréquentant une école secondaire des régions participantes.
sur la stigmatisation à l’égard du poids
ou un jeune se confie à moi
Selon la gravité de la situation, si vous comptez mettre au courant une tierce personne de la conversation que vous avez eue avec le jeune, prenez le temps d’informer ce dernier afin de ne pas briser le lien de confiance que vous avez établi avec lui.
Pour télécharger les guides, répondez aux questions suivantes, qui nous permettront de mieux cibler le public intéressé par nos guides et la stigmatisation à l’égard du poids.
Merci de l’intérêt que vous portez aux guides éducatifs développés par l’Association pour la santé publique du Québec. ASPQ.org